Front de l'indépendance
Pendant la guerre, le comité national du Front de l'indépendance réunit des représentants d'un grand nombre d'organisations résistantes telles que: * L'Armée belge des partisans (les Partisans armés (PA)), * les Milices patriotiques (MP), * Solidarité , * les Comités de lutte syndicale, * Wallonie libre, * le Comité de défense des Juifs (CDJ), * LOMO (Professeurs de l’enseignement moyen officiel en Flandre), * le journal clandestin Front * l'''Österreichische Freiheitsfront'', une organisation antifasciste créée à Bruxelles par des réfugiés communistes autrichiens et allemands En plus de soutenir la résistance armée, le Front de l'indépendance est responsable de formes de résistance non violentes. Le Service de solidarité, dirigé par Rosy Hollender, est créé comme structure d'aide aux familles des victimes de l'occupant. Solidarité adhère au Front de l'indépendance en novembre 1942. Des milliers de bénévoles s’emploient à récolter des fonds pour les distribuer aux familles des membres, victimes de l'occupant.
Grâce à ces diverses organisations ainsi que l'aide du SOE qui leur a fourni en 1943 des pistolets silencieux Welrod leur permettant d’éliminer une cible de manière discrète, le Front de l'indépendance met en place des opérations de sabotage, des chaînes d'évasion, un service de faux documents, et diffuse deux cent cinquante publications clandestines différentes. Cet aspect essentiel de la guerre, la guerre de l'information, trouva une forme d'aboutissement dans la publication par le Front de l'indépendance, le , du ''Faux Soir''. Informations fournies par Wikipedia