Louise Michel

Préoccupée très tôt par l'éducation, elle enseigne quelques années avant de se rendre à Paris en 1856. À , elle y développe une importante activité littéraire, pédagogique et politique et se lie avec plusieurs personnalités révolutionnaires blanquistes de Paris des années 1860.
En 1871, elle participe activement aux événements de la Commune de Paris, autant en première ligne qu'en soutien. S'étant livrée en mai pour faire libérer sa mère, elle est déportée en Nouvelle-Calédonie où elle se convertit à la pensée anarchiste. Elle revient en métropole en 1880 grâce à l'amnistie des communards, et, très populaire, multiplie les manifestations et réunions en faveur des prolétaires. Elle reste surveillée par la police et est emprisonnée à plusieurs reprises, mais poursuit son militantisme politique dans toute la France, jusqu'à sa mort à l'âge de à Marseille.
Elle demeure une figure révolutionnaire et anarchiste de premier plan dans l'imaginaire collectif. Première à arborer le drapeau noir, elle popularise celui-ci au sein du mouvement libertaire. Elle est aussi un précurseur de la question du bien-être animal, dénonçant l'exploitation des bêtes de somme notamment, en parallèle de celle des êtres humains. Informations fournies par Wikipedia
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4Cote: MB/0508
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5Herdruk van de brochure, uitgegeven door de "Groupe anarchiste de Saint-Denis".
Par Michel, Louise
Date 1947Cote: MAD/288.48 -
6Cote: MB/2915
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10Cote: 2000-MB/271
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11Cote: 2001-MB/080
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12Cote: 2003-MB/019
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